Eh ! je sais bien qu'ils ont tous dit : vieillir est doux<.
Mais je vieillis et je regrette la jeunesse,
Et la joueuse de croquet, et les caresses
De sa mains sur mon front posé sur ses genoux.
Quand donc viendra le temps où j'aurai cette force
De bénir, sans que j'aie de l'amertume au coeur,
Des enfants respirant la sève des écorces
Dans le ravin rempli d'églantières pâleurs ?
Heureux celui qui peut, dans l'enclos paysan,
A l'heure où lourdement sonnent les vêpres chaudes,
Mettre dans d'autres mains les mains de ses enfants
Qui se sont fiancés dans les framboises jaunes.
Bonsoir mes Ami (e)s
Je suis absente depuis un certain temps... J'espère que vous allez bien en ce début d'automne. J'ai essayé le nouveau blog "Over" - mais hélas comme je le craignais, je n'y comprends toujours rien en informatique.
Je vous souhaite une bonne semaine en vous envoyant mes douces pensées